KALAW
: LA FABRICATION DU PAPIER SHAN
ET DES OMBRELLES
Première
étape : la pâte cellulosique est constituée d'un mélange
d'écorce de mûrier et de glaise, qu'on malaxe longuement
à l'aide de maillets.
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La pâte
est ensuite diluée dans l'eau, puis étalée sur des
cadres de tissu. La fine pellicule qui se forme sur ces cadres, après
séchage au soleil, est retirée délicatement. On a
obtenu une feuille de papier.
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Nos supporters
sont bien sûr au rendez-vous.
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Une ombrelle
nécessite un manche, fabriqué ici. On retrouve le ressort
en bambou flexible, la ficelle et la pédale sur le tour à
bois.
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Il faut également
un cliquet, qui permettra à l'ombrelle de rester ouverte. Il est
taillé ici au couteau dans un tube de bambou.
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On ajoute
encore les baleines, fines tiges de bois.
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On colle
le papier sur les baleines.
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Il ne reste
plus qu'à décorer.
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Démonstration
du produit fini par un jeune top-model local.
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Il est 17h
: sortie des classes.
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Sur la route
du lac Inlé, une pause pour assister au battage du blé.
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A perte de
vue, les champs de terre rouge.
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Luxe rare
: un tracteur. Certainement un chauffeur de motoculteur qui a réussi.
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Ces jeunes
novices viennent de détourner un camion dont visiblement seul le
chassis est d'origine.
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Arrivée
au lac Inlé dans la soirée. Les longues pirogues vont nous
emmener à l'hôtel lacustre.
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