Arrivée
à Pindaya. La couleur de la terre vire au rouge sombre, ce qui
sera le cas jusqu'au lac Inlé.
L'entrée
de la grotte sacrée, avec ses escaliers couverts et son ascenseur.
Jour de noces
à Pindaya : nous sommes bien sûr immédiatement invités.
L'hospitalité, forme du don qui a une importance vitale pour les
birmans, est ici hors de pair.
Les nouveaux
époux ont 20 ans, et travaillent tous deux dans un hôtel.
Particularité locale : il n'y a pas vraiment de cérémonie
religieuse bouddhiste, à peine une rapide cérémonie
civile. Par contre, on passe toujours chez le notaire pour signer un contrat.
Le premier
étage d'une maison abrite le repas, on a même dressé
des tables sur les terrasses.
Le coin du
thé, avec des grand-mères toutes émoustillées
à l'idée de se faire prendre en photo.
Le nombre
de personnes en cuisine est évidemment en rapport avec l'importance
de l'événement.
Préparations
à la chaîne, sur un rythme trépidant.
A quelques
exceptions près, hommes et femmes mangent séparément.
Les cadeaux
pour les mariés sont scrupuleusement contrôlés. Tout
sera noté dans un cahier : nom du donateur, valeur du cadeau ...
En échange, chaque invité recevra une cigarette, même
ceux qui ne fument pas. Cette pratique semble avoir son origine en Chine.
La cour d'une
maison voisine a été réquisitionnée pour la
plonge.
Les capacités
d'accueil étant relativement réduites, et le nombre d'invités
très important (souvent tout le village, plusieurs centaines de
personnes), les convives se rendent au banquet à tour de rôle.
C'est le moment pour cette grand-mère, sur son 31 pour la circonstance.
La mère
d'un des mariés : tunique et longyi de soie, lunettes et bijoux
d'or, ombrelle. Le vrai chic birman.
Une maison
typique de l'endroit, briques et grand jardin.
